L'histoire se déroule dans deux bâtiments en vis-à-vis de la rue de la Doulce-Belette à Paris (inutile de chercher pas cette rue sur un plan, c'est une invention de J.M. Erre) où l'auteur fait le tour de ses habitants. Tout de suite, on rentre dans le vif du sujet puisque le roman débute sur un décès survenu au n°5. L'appartement de la défunte se libère et Corneloup emménage. Une aubaine pour lui : l'endroit est en apparence calme, l'appart est grand et le loyer est abordable. Ce nouveau nid à tout pour plaire. Ou presque...
Juste en face ce trouve l'appartement d'Eugène Fluche. Personnage atypique occupant ses journées à peindre sur des coquilles d'œuf, il prend un malin plaisir à regarder vivre Max. Ce n'est que justice puisque lui-même se sent sans arrêt espionner par le nouveau voisin d'en face. A la Doulce-Belette, on n'est plus tranquille et un vent de paranoïa souffle sur ses habitants.
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