Gérard Dumaurier n’est pas sûr de son nom. De quoi est-il sûr, d’ailleurs ? De rien, probablement. Mais, bien que ses idées soient floues, il tâche de les rassembler dans ce qui tient lieu de journal, de mémoires. Il se rappelle la guerre, il se rappelle le cataclysme et il se rappelle les enfants sur les épaules desquels tout repose, les enfants, dernier espoir d’une société qui court à sa perte.
Il raconte alors –mais à qui ?- le temps qui passe et la civilisation à venir.
Dans une langue nerveuse, sarcastique et parfaitement adaptée à son propos, il dépeint les évènements. Quand ? Hier ? Demain ? Le jour suivant ? Peu importe. On n’y échappera pas. Car la fin du monde est une fatalité et que l’humanité n’aura que ce qu’elle mérite. Il est même possible que tout ceci se déroule en ce moment.
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