...Quatre nouvelles somptueuses.
Les personnages de David Bosc apparaissent comme des rêveurs démesurés ou des fous, épris d’un idéal ou d’une liberté qui souvent se refusent.
Après la vitalité enfiévrée et généreuse de Gustave Courbet dans «La claire fontaine», le geste illuminé et inexplicable de Sonia Araquistáin dans «Mourir et puis sauter sur son cheval», David Bosc orchestre, avec sa densité coutumière, dans ce court recueil paru en mars 2017 aux éditions Verdier, les portraits de quatre hommes qui ne se laissent pas abattre en dépit des déluges. Trois de ces quatre textes placés sous le signe des «Illuminations» d’Arthur Rimbaud étaient déjà parus en 2015 dans L’Humanité, Décapage et La couleur des jours.
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