Etienne, Blanche et leurs enfants regagnent Lyon en voiture après leurs vacances dans la maison des grands-parents. A quelques kilomètres de l’arrivée, la mort de Jean-Jacques Goldman est annoncée à la radio.
En commençant la lecture de ce livre, je m’attendais à retrouver un peu de l’ambiance des romans de Nicolas Matthieu, presque une étude sociologique. Malheureusement, je n’ai pas du tout réussi à entrer dans l’histoire. Beaucoup d’éléments obscurs : en quoi ce qui se passe dans la famille d’Etienne a quelque chose à voir avec la mort de Goldman ? Que vient faire le chien ? Pourquoi Etienne ne retient-il aucun nom, même pas ceux de ses collègues proches ? Cela paraît peu crédible. De plus, j’ai cherché des allusions aux chansons de Goldman, citations, petits clins d’œil. Je n’en ai pas trouvé. (Mis à part au moment de la soirée hommage.) C’est dommage, cela aurait apporté un petit plus fort sympathique.
J’ai quand même apprécié les références à la musique baroque, présentes de façon relativement insistante : j’ai relevé le terme de kyrie, certaines citations qui ouvrent les chapitres, et bien sûr le « requiem » du titre. Goldman / musique baroque, c’est un joli contraste, il fallait y penser.
Merci à Netgalley et aux éditions Noir sur Blanc pour le service presse.
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