l'aeDOA, c'est bien. C'est même super bien. J'ai pris jusqu'à présent claque sur claque à chacun de ses romans. Là, j'avoue avoir été déçu, je me suis retrouvé plongé dans citoyens clandestins, mais sans la surprise. Oui, les détails, l'argot, l'humanité des personnages... on y est. Mais au contraire de The Wire auquel ce livre se réfère, pourquoi un twist ? Pourquoi pas une longue et pénible avancée dans la noirceur ? Nul doute que ça en aurait fait une belle série télé et la chronologie de la genèse de cette oeuvre par rapport aux autres de DOA explique beaucoup, mais bon, déçu déçu déçu je suis. Finalement, ça pourrait être paradoxalement le bon bouquin pour aborder son oeuvre, histoire de remettre les choses dans le bon sens. (Oui, si j'avais découvert DOA avec ce livre, j'aurai pété un bon 8/10.)