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Paulaine

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Zozzzzzz

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Rien à perdre

livre de Hanneli Victoire

Résumé : « 2018. J’ai vingt ans. J’habite à Paris, je fais des études. Et j’ai, au fond de la gorge, l’intime conviction d’une vérité qui se dérobe à chaque souffle. Une petite plaie, que l’air assèche à chaque respiration. Et qui me fait tousser. S’enclenche la mécanique implacable de mon cerveau de dominante, taillé dans le roc pour arracher la grande vie, mari, enfants, appartement parisien, travail chic, avec panache, à la loyale. Un petit filet de sang se met à couler. Je tousse un peu plus. Il y a une pensée qui soudain fait surface, une petite bulle que je recrache. À l’aube de l’été 2018, j’ai envie d’avoir les cheveux courts. C’est l’histoire de la maladie d’être soi qu’on accepte. Assumer de vouloir crever pour mieux guérir. Ne pas attendre qu’on nous blesse, se blesser soi-même, être vulnérable, pleurer avant d’avoir mal, pour enfin l’avouer, le dire, le hurler. Sans contrefaçon. Le bras de fer commence ici. » Un premier récit au style fulgurant sur la fin de l’adolescence, la découverte de soi et de sa réelle identité.

Gars Vain

a attribué 6/10 au livre

jessrvz

a attribué 7/10 au livre

Rien à perdre

livre de Hanneli Victoire

Résumé : « 2018. J’ai vingt ans. J’habite à Paris, je fais des études. Et j’ai, au fond de la gorge, l’intime conviction d’une vérité qui se dérobe à chaque souffle. Une petite plaie, que l’air assèche à chaque respiration. Et qui me fait tousser. S’enclenche la mécanique implacable de mon cerveau de dominante, taillé dans le roc pour arracher la grande vie, mari, enfants, appartement parisien, travail chic, avec panache, à la loyale. Un petit filet de sang se met à couler. Je tousse un peu plus. Il y a une pensée qui soudain fait surface, une petite bulle que je recrache. À l’aube de l’été 2018, j’ai envie d’avoir les cheveux courts. C’est l’histoire de la maladie d’être soi qu’on accepte. Assumer de vouloir crever pour mieux guérir. Ne pas attendre qu’on nous blesse, se blesser soi-même, être vulnérable, pleurer avant d’avoir mal, pour enfin l’avouer, le dire, le hurler. Sans contrefaçon. Le bras de fer commence ici. » Un premier récit au style fulgurant sur la fin de l’adolescence, la découverte de soi et de sa réelle identité.

numavon

a attribué 5/10 au livre

Léo-Parleur

a attribué 7/10 au livre

Rien à perdre

livre de Hanneli Victoire

Résumé : « 2018. J’ai vingt ans. J’habite à Paris, je fais des études. Et j’ai, au fond de la gorge, l’intime conviction d’une vérité qui se dérobe à chaque souffle. Une petite plaie, que l’air assèche à chaque respiration. Et qui me fait tousser. S’enclenche la mécanique implacable de mon cerveau de dominante, taillé dans le roc pour arracher la grande vie, mari, enfants, appartement parisien, travail chic, avec panache, à la loyale. Un petit filet de sang se met à couler. Je tousse un peu plus. Il y a une pensée qui soudain fait surface, une petite bulle que je recrache. À l’aube de l’été 2018, j’ai envie d’avoir les cheveux courts. C’est l’histoire de la maladie d’être soi qu’on accepte. Assumer de vouloir crever pour mieux guérir. Ne pas attendre qu’on nous blesse, se blesser soi-même, être vulnérable, pleurer avant d’avoir mal, pour enfin l’avouer, le dire, le hurler. Sans contrefaçon. Le bras de fer commence ici. » Un premier récit au style fulgurant sur la fin de l’adolescence, la découverte de soi et de sa réelle identité.

numavon

a attribué 6/10 au livre

Bern44

a attribué 7/10 au livre

Rien à perdre

livre de Hanneli Victoire

Résumé : « 2018. J’ai vingt ans. J’habite à Paris, je fais des études. Et j’ai, au fond de la gorge, l’intime conviction d’une vérité qui se dérobe à chaque souffle. Une petite plaie, que l’air assèche à chaque respiration. Et qui me fait tousser. S’enclenche la mécanique implacable de mon cerveau de dominante, taillé dans le roc pour arracher la grande vie, mari, enfants, appartement parisien, travail chic, avec panache, à la loyale. Un petit filet de sang se met à couler. Je tousse un peu plus. Il y a une pensée qui soudain fait surface, une petite bulle que je recrache. À l’aube de l’été 2018, j’ai envie d’avoir les cheveux courts. C’est l’histoire de la maladie d’être soi qu’on accepte. Assumer de vouloir crever pour mieux guérir. Ne pas attendre qu’on nous blesse, se blesser soi-même, être vulnérable, pleurer avant d’avoir mal, pour enfin l’avouer, le dire, le hurler. Sans contrefaçon. Le bras de fer commence ici. » Un premier récit au style fulgurant sur la fin de l’adolescence, la découverte de soi et de sa réelle identité.

L0ukina

a attribué 7/10 au livre

Rien à perdre

livre de Hanneli Victoire

Résumé : « 2018. J’ai vingt ans. J’habite à Paris, je fais des études. Et j’ai, au fond de la gorge, l’intime conviction d’une vérité qui se dérobe à chaque souffle. Une petite plaie, que l’air assèche à chaque respiration. Et qui me fait tousser. S’enclenche la mécanique implacable de mon cerveau de dominante, taillé dans le roc pour arracher la grande vie, mari, enfants, appartement parisien, travail chic, avec panache, à la loyale. Un petit filet de sang se met à couler. Je tousse un peu plus. Il y a une pensée qui soudain fait surface, une petite bulle que je recrache. À l’aube de l’été 2018, j’ai envie d’avoir les cheveux courts. C’est l’histoire de la maladie d’être soi qu’on accepte. Assumer de vouloir crever pour mieux guérir. Ne pas attendre qu’on nous blesse, se blesser soi-même, être vulnérable, pleurer avant d’avoir mal, pour enfin l’avouer, le dire, le hurler. Sans contrefaçon. Le bras de fer commence ici. » Un premier récit au style fulgurant sur la fin de l’adolescence, la découverte de soi et de sa réelle identité.

Charlène Hfr

a attribué 9/10 au livre

Rien à perdre

livre de Hanneli Victoire

Résumé : « 2018. J’ai vingt ans. J’habite à Paris, je fais des études. Et j’ai, au fond de la gorge, l’intime conviction d’une vérité qui se dérobe à chaque souffle. Une petite plaie, que l’air assèche à chaque respiration. Et qui me fait tousser. S’enclenche la mécanique implacable de mon cerveau de dominante, taillé dans le roc pour arracher la grande vie, mari, enfants, appartement parisien, travail chic, avec panache, à la loyale. Un petit filet de sang se met à couler. Je tousse un peu plus. Il y a une pensée qui soudain fait surface, une petite bulle que je recrache. À l’aube de l’été 2018, j’ai envie d’avoir les cheveux courts. C’est l’histoire de la maladie d’être soi qu’on accepte. Assumer de vouloir crever pour mieux guérir. Ne pas attendre qu’on nous blesse, se blesser soi-même, être vulnérable, pleurer avant d’avoir mal, pour enfin l’avouer, le dire, le hurler. Sans contrefaçon. Le bras de fer commence ici. » Un premier récit au style fulgurant sur la fin de l’adolescence, la découverte de soi et de sa réelle identité.

Charlène Hfr

a attribué 8/10 au livre

Rien à perdre

livre de Hanneli Victoire

Résumé : « 2018. J’ai vingt ans. J’habite à Paris, je fais des études. Et j’ai, au fond de la gorge, l’intime conviction d’une vérité qui se dérobe à chaque souffle. Une petite plaie, que l’air assèche à chaque respiration. Et qui me fait tousser. S’enclenche la mécanique implacable de mon cerveau de dominante, taillé dans le roc pour arracher la grande vie, mari, enfants, appartement parisien, travail chic, avec panache, à la loyale. Un petit filet de sang se met à couler. Je tousse un peu plus. Il y a une pensée qui soudain fait surface, une petite bulle que je recrache. À l’aube de l’été 2018, j’ai envie d’avoir les cheveux courts. C’est l’histoire de la maladie d’être soi qu’on accepte. Assumer de vouloir crever pour mieux guérir. Ne pas attendre qu’on nous blesse, se blesser soi-même, être vulnérable, pleurer avant d’avoir mal, pour enfin l’avouer, le dire, le hurler. Sans contrefaçon. Le bras de fer commence ici. » Un premier récit au style fulgurant sur la fin de l’adolescence, la découverte de soi et de sa réelle identité.

Meril

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bee3613

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Carolga

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Manaaaw

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Des textes gays

Rien à perdre

livre de Hanneli Victoire

Résumé : « 2018. J’ai vingt ans. J’habite à Paris, je fais des études. Et j’ai, au fond de la gorge, l’intime conviction d’une vérité qui se dérobe à chaque souffle. Une petite plaie, que l’air assèche à chaque respiration. Et qui me fait tousser. S’enclenche la mécanique implacable de mon cerveau de dominante, taillé dans le roc pour arracher la grande vie, mari, enfants, appartement parisien, travail chic, avec panache, à la loyale. Un petit filet de sang se met à couler. Je tousse un peu plus. Il y a une pensée qui soudain fait surface, une petite bulle que je recrache. À l’aube de l’été 2018, j’ai envie d’avoir les cheveux courts. C’est l’histoire de la maladie d’être soi qu’on accepte. Assumer de vouloir crever pour mieux guérir. Ne pas attendre qu’on nous blesse, se blesser soi-même, être vulnérable, pleurer avant d’avoir mal, pour enfin l’avouer, le dire, le hurler. Sans contrefaçon. Le bras de fer commence ici. » Un premier récit au style fulgurant sur la fin de l’adolescence, la découverte de soi et de sa réelle identité.

PhilippineLe

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pepaluuuu

a attribué 7/10 au livre

Rien à perdre

livre de Hanneli Victoire

Résumé : « 2018. J’ai vingt ans. J’habite à Paris, je fais des études. Et j’ai, au fond de la gorge, l’intime conviction d’une vérité qui se dérobe à chaque souffle. Une petite plaie, que l’air assèche à chaque respiration. Et qui me fait tousser. S’enclenche la mécanique implacable de mon cerveau de dominante, taillé dans le roc pour arracher la grande vie, mari, enfants, appartement parisien, travail chic, avec panache, à la loyale. Un petit filet de sang se met à couler. Je tousse un peu plus. Il y a une pensée qui soudain fait surface, une petite bulle que je recrache. À l’aube de l’été 2018, j’ai envie d’avoir les cheveux courts. C’est l’histoire de la maladie d’être soi qu’on accepte. Assumer de vouloir crever pour mieux guérir. Ne pas attendre qu’on nous blesse, se blesser soi-même, être vulnérable, pleurer avant d’avoir mal, pour enfin l’avouer, le dire, le hurler. Sans contrefaçon. Le bras de fer commence ici. » Un premier récit au style fulgurant sur la fin de l’adolescence, la découverte de soi et de sa réelle identité.

Nuenen

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Luluhb

a attribué 8/10 au livre

Rien à perdre

livre de Hanneli Victoire

Résumé : « 2018. J’ai vingt ans. J’habite à Paris, je fais des études. Et j’ai, au fond de la gorge, l’intime conviction d’une vérité qui se dérobe à chaque souffle. Une petite plaie, que l’air assèche à chaque respiration. Et qui me fait tousser. S’enclenche la mécanique implacable de mon cerveau de dominante, taillé dans le roc pour arracher la grande vie, mari, enfants, appartement parisien, travail chic, avec panache, à la loyale. Un petit filet de sang se met à couler. Je tousse un peu plus. Il y a une pensée qui soudain fait surface, une petite bulle que je recrache. À l’aube de l’été 2018, j’ai envie d’avoir les cheveux courts. C’est l’histoire de la maladie d’être soi qu’on accepte. Assumer de vouloir crever pour mieux guérir. Ne pas attendre qu’on nous blesse, se blesser soi-même, être vulnérable, pleurer avant d’avoir mal, pour enfin l’avouer, le dire, le hurler. Sans contrefaçon. Le bras de fer commence ici. » Un premier récit au style fulgurant sur la fin de l’adolescence, la découverte de soi et de sa réelle identité.

Suzy Noland

a attribué 8/10 au livre

Rien à perdre

livre de Hanneli Victoire

Résumé : « 2018. J’ai vingt ans. J’habite à Paris, je fais des études. Et j’ai, au fond de la gorge, l’intime conviction d’une vérité qui se dérobe à chaque souffle. Une petite plaie, que l’air assèche à chaque respiration. Et qui me fait tousser. S’enclenche la mécanique implacable de mon cerveau de dominante, taillé dans le roc pour arracher la grande vie, mari, enfants, appartement parisien, travail chic, avec panache, à la loyale. Un petit filet de sang se met à couler. Je tousse un peu plus. Il y a une pensée qui soudain fait surface, une petite bulle que je recrache. À l’aube de l’été 2018, j’ai envie d’avoir les cheveux courts. C’est l’histoire de la maladie d’être soi qu’on accepte. Assumer de vouloir crever pour mieux guérir. Ne pas attendre qu’on nous blesse, se blesser soi-même, être vulnérable, pleurer avant d’avoir mal, pour enfin l’avouer, le dire, le hurler. Sans contrefaçon. Le bras de fer commence ici. » Un premier récit au style fulgurant sur la fin de l’adolescence, la découverte de soi et de sa réelle identité.

Nuenen

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Liki796

a attribué 5/10 au livre