Samuel Vimaire, c'est le mec que j'aurais aimé être, c'est mon Yoda personnel, mon bouton pressoir lumineux quand la minuterie s’éteint soudain dans des escaliers trop pentus.
Alors quand Pratchett consacre un roman entier à l'histoire du Duc, qu'il le fait avec tout le talent qu'on lui connait et qu'il nappe le tout de sa sauce secrète "humoristico politico humaniste", et ben, je ne peux qu'applaudir des deux mains, une fois la dernière page tournée, allumer un énième cierge sur l'autel de papy Terry et prier afin que ce dernier tienne le coup le plus longtemps possible avec sa foutue maladie.
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