L’auteur a un certain talent pour rendre les choses et les gens simples attirants, attendrissants, attachants. Tout comme dans son roman des souris et des hommes, tout au long du roman on ne lit quasiment jamais les émotions, les sentiments ou bien ce qui se passe dans la tête des personnages. Rien n’est suggéré, cela laissant au lecteur la liberté d’interpréter ou d’imaginer les réactions des personnages lorsqu’une situation se déroule. Comme lors du passage sur l’écureuil, la mort est designée comme une fatalité mais sans dramatisation exagérée.