Ah, Panam...
Oui, Panam, et non pas Paname ! Dans ce premier roman, Raphaël Albert nous dépeint la capitale sous un jour complètement fantasque et fantastique. Nous sommes en 1880 et suivons les aventures de...
Par
le 5 mai 2011
1 j'aime
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 29 mai 2013
Critique lue 313 fois
D'autres avis sur Rue Farfadet
Oui, Panam, et non pas Paname ! Dans ce premier roman, Raphaël Albert nous dépeint la capitale sous un jour complètement fantasque et fantastique. Nous sommes en 1880 et suivons les aventures de...
Par
le 5 mai 2011
1 j'aime
Les jours, les mois et les heures sont complètement imaginaires ce qui fait que j’ai du mal à m’y retrouver (« Gradi premier Argile » par exemple ou bien l’heure du Vin). Une petite mise au point en...
Par
le 27 nov. 2017
D'ordinaire, dès qu'il me faut sortir mon crayon de bois (ou à papier, choisissez) pour corriger une ou deux coquilles dans une édition, j'y prends un certain plaisir. Là, j'ai dû garder le crayon...
Par
le 1 juin 2021
Du même critique
Diantre, mais pourquoi vouloir faire deux choses en une, sans en garder le jus, la force !! L'affiche est alléchante, mais l'alchimie "théatre de shakespeare" et "film de guerre moderne" ne prend...
le 29 mai 2013
1 j'aime
1
Les aventures d'un elfe détective privé, aidé de son acolyte pixel, un pillywiggin (un petit être ailé), dans un panam steampunk. Le style est limpide, enlevé, et on se demande toujours dans quelle...
le 29 mai 2013
voir la couleur du monde, devenir un dieu du monde de la finance, ceci rien qu'avec une pilule miracle. Limitless parle de l'accomplissement personnel d'un écrivain raté et sans imagination, et qui...
le 28 mai 2013