La revue va aller dans le même sens que pour Enfance berlinoise, d'autant plus qu'il y a beaucoup d'écos entre les deux textes ce qui confirme ces idées d'entrelats que j'évoquais hier. On y retrouve toutes les qualités (autant au sens de propriété qu'à celui plus mélioratif) d'Enfance berlinoise. Ce qu'il y a en plus c'est des réflexions marxistes (ou marxisantes ?) sur le monde, l'ébauche d'une théorie littéraire et aussi peut être une plus grande place faite à la spiritualité. En fait, ca fait beaucoup.
Ce sont deux textes qui doivent finalement quasiment être lus à la suite, comme un seul, puisque le Sens unique mène à maturité un certains nombre de jeunes pousse d'Enfance berlinoise. L'enfant curieux de tout est devenu le flâneur, en proie aux déploiement des possibilités de la ville. Il revalorise le petit et met en exergue toute sorte de potentialités du monde.
En somme, ce sont deux recueil de fragments que j'ai beaucoup aimé. Mais puisque "convraicre est infécond", je vous invite à vous faire votre propre idée sur e chef d'œuvre plein d'esprit et de douce poésie, qui, lui, est très fécond.