…additionnelle de l’usage habituel de l’opium, qu’il consommait en grande quantité, et sans lequel l’existence lui eût été impossible. »
M. Bedloe expérimente une sensation sibylline pendant sa brève disparition dans les montagnes déchirées.
Un paradigme de ce qu’est censé insinuer le fantastique, c’est-à-dire le doute, car ce qui est sûr, c’est que le protagoniste est accro aux opiacés et qu’il se traite chez un magnétiseur. En effet, c’est aussi une fin idéale avec l’anagramme du nom qui amène à penser que ce n’est pas un simple délire dû à la drogue ou bien à sa cure. Bref, un superbe récit foncièrement immersif et onirique.