C’est certain, atteindre le niveau d’émotion que m’avait procuré Meurtres pour rédemption allait être difficile (voir impossible parce qu’après un mois il me hante encore!). Pourtant loin du niveau du second roman de Karine Giebel, qui paraîtra deux ans plus tard, Terminus Elicius reste malgré tout un bon petit thriller sympathique et prometteur qui se dévore en un rien de temps. Et cela n’est pas seulement dû au fait qu’il ne fait pas 300 pages! Le style de l’auteur, encore à ses prémisses, est déjà terriblement addictif et on plonge aisément dans ses mots pour nous embarquer dans la vie un peu chaotique de Jeanne. Ce n’est certainement pas un thriller ultra abouti et inévitable mais il vous fera passer un très bon moment de lecture avec des petits moments de tension comme il faut et un twist final surprenant que mon esprit un peu malade [...]
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