Alors, je ne tenais pas encore ce blog lors de la sortie du premier film, mais il s’était arrêté avec cette question : mais comment vont-ils pouvoir faire encore 2 films de ce livre qui est à la base un conte pour enfant, donc assez simple au niveau narratif ?
Me voilà donc devant le film, 2h41, je crois, ils ont même mis la dose !
Pour commencer, mes quelques souvenirs du livre me font dire que le film prends de grandes libertés, et même avec l’univers de Tolkien, même si je ne le connais pas énormément, hormis le Seigneur des Anneaux.
Dans ce volet de la « saga » on retrouve un jeune Legolas, amoureux de la belle Tauriel, incarnée par la jolie Evangeline Lilly que j’aime bien, parce qu’elle fait toujours très naturelle. Mais bon, déjà quand un elfe tombe amoureux d’un humain ça fait plein d’histoire, mais d’un nain ? Mouais…
Pour le déroulement des événements, on retrouve bien la pâte du réalisateur du Seigneur des Anneaux : captures, évasions, des araignées géantes…
Les décors et les musiques sont toujours sublimes, ça crée vraiment un univers à part entière. J’aime bien en revanche les liens qu’ils ont fait avec le Seigneur des Anneaux, comme le père de Gimli qui parle de la même manière que lui et montre un dessin de son fils enfant.
Pour ma part, j’ai eu l’impression par moment de me retrouver dans Wow : mission pour délivrer les prisonniers, courses poursuites avec des orcs, certains paysages… bon, en même temps, l’univers de Tolkien a inspiré toute la fantasy moderne donc certains de ces faits paraissent logiques.
Ce qui m’amuse beaucoup, ce sont tous les plans où on voit leurs petites silhouettes noires qui marchent à la queue-leuleu ou qui courent, il faut être sportif pour les quêtes héroïques !
Bon, du coup, ça se laisse bien regarder, mais ce n’est plus vraiment l’histoire du livre et par de nombreux éléments on retrouve le Seigneur des Anneaux, un peu en copier/coller.
Encore une fois, à la fin du film, on se demande : mais comment vont-ils faire encore un film avec le dernier chapitre du bouquin ? Mais bon… we’ll see !