J'ai tué le père en 1h30 à peine (un record!). Bien que moins déçue que par le cru 2010, je reste encore une fois sur ma faim (dont je ne ferai pas de biographie... ok, je sors).
Comme souvent pour les derniers A.N., l'idée de base est bonne, on ne saurait le nier.
Mais il y manque l'imagination d'un Mercure ou d'un Acide Sulfurique, la folie d'un Combustible, la sincérité d'un Biographie de la faim ou d'un Robert des noms propres.
Bref, ce qui faisait (et ça fait mal de devoir parler au passé), l'âme et la force d'un bon Amélie Nothomb...
Réveille toi Amélie!