A la fin du volume précédent Henri Koskinen apprend par son frère qu’il est devenu consultant dans un nouveau Parc jeux et qu’il est dans les intentions des propriétaires de le massacrer, le ruiner et autres joyeusetés !
Maintenant que l’équipe est soudée, les ennemis disparus ou morts, les choses commencent à fonctionner normalement, le Parc MonTonSonFun , son Parc, vit sa vie et Henri se réjouit aussi pour sa vie privée !
Mais les concurrents font rapidement du tort à MonTonSonFun. Henri décide donc d’y aller pour (espionner) rencontrer les gestionnaires et arriver à une entente. La seule personne qu’il va voir est le gérant... mort ! Et bien évidemment, il ferait le coupable idéal.
Tout comme le Parc de jeux, Henri a évolu. Il est passé d'actuaire rigide à actuaire directeur de Parc presque humanisé ! L’Art et l’Amour sont pour beaucoup dans cette souplesse acquise et si Koskinen est toujours un aimant à ennuis, ceux-ci sont devenus prévisibles et facilement identifiables et les situations pour le coup moins humoristiques.
La recette de l’humour de cette série est le fait qu’Henri soit rigide mais ingénu ; qu’il soit en décalage total avec la réalité du commerce et des relations humaines. Comme il est de plus en plus en adéquation avec ce qu’il côtoie, il est beaucoup moins pris au dépourvu que dans le premier tome et son frère n’est plus là pour contrer ses efforts, comme dans le second tome !
Les ratiocinations d’Henri finissent par lasser un peu alors qu’elles n’apportent que peu à l’histoire mais ça n’en reste pas moins agréable et amusant à lire.
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