L'actualité sur Un Occident kidnappé

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Pierre Cabot

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Les meilleurs livres de 2021

Un Occident kidnappé

livre de Milan Kundera

Résumé : Aussitôt paru dans Le Débat, en novembre 1983, cet article, traduit dans toutes les langues européennes, a sonné comme un plaidoyer et une accusation. Plaidoyer pour la défense de l’Europe centrale (Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie), qui par sa tradition culturelle appartient tout entière et depuis toujours à l’Occident, mais que celui-ci ne voit plus qu’à travers son régime politique, ce qui n’en fait qu’une partie du bloc de l’Est. Une culture qui n’est pas l’apanage d’une élite, mais la valeur vivante autour de laquelle se regroupe le peuple. Une accusation, car la tragédie de ce foyer des « petites nations », qui se savent périssables, est en fait celle de l’Europe elle-même qui ne veut pas le voir et ne s’est même pas aperçue de leur disparition. N’est-ce pas là un des signes de sa propre disparition ? La valeur du texte ne vient pas seulement de son habileté démonstrative, mais de la voix si personnelle, véhémente, angoissée de l’auteur, Milan Kundera, qui apparaît alors comme un des plus grands écrivains européens. Le voilà remis à la disposition du lecteur d’aujourd’hui, présenté par Pierre Nora, et précédé d’un texte inconnu du public français, le discours du jeune Kundera au Congrès des écrivains tchécoslovaques de 1967, en plein Printemps de Prague, présenté par Jacques Rupnik.

Hammerman

a attribué 7/10 au livre

Un Occident kidnappé

livre de Milan Kundera

Résumé : Aussitôt paru dans Le Débat, en novembre 1983, cet article, traduit dans toutes les langues européennes, a sonné comme un plaidoyer et une accusation. Plaidoyer pour la défense de l’Europe centrale (Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie), qui par sa tradition culturelle appartient tout entière et depuis toujours à l’Occident, mais que celui-ci ne voit plus qu’à travers son régime politique, ce qui n’en fait qu’une partie du bloc de l’Est. Une culture qui n’est pas l’apanage d’une élite, mais la valeur vivante autour de laquelle se regroupe le peuple. Une accusation, car la tragédie de ce foyer des « petites nations », qui se savent périssables, est en fait celle de l’Europe elle-même qui ne veut pas le voir et ne s’est même pas aperçue de leur disparition. N’est-ce pas là un des signes de sa propre disparition ? La valeur du texte ne vient pas seulement de son habileté démonstrative, mais de la voix si personnelle, véhémente, angoissée de l’auteur, Milan Kundera, qui apparaît alors comme un des plus grands écrivains européens. Le voilà remis à la disposition du lecteur d’aujourd’hui, présenté par Pierre Nora, et précédé d’un texte inconnu du public français, le discours du jeune Kundera au Congrès des écrivains tchécoslovaques de 1967, en plein Printemps de Prague, présenté par Jacques Rupnik.

Léonard Michallon

a attribué 7/10 au livre

Un Occident kidnappé

livre de Milan Kundera

Résumé : Aussitôt paru dans Le Débat, en novembre 1983, cet article, traduit dans toutes les langues européennes, a sonné comme un plaidoyer et une accusation. Plaidoyer pour la défense de l’Europe centrale (Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie), qui par sa tradition culturelle appartient tout entière et depuis toujours à l’Occident, mais que celui-ci ne voit plus qu’à travers son régime politique, ce qui n’en fait qu’une partie du bloc de l’Est. Une culture qui n’est pas l’apanage d’une élite, mais la valeur vivante autour de laquelle se regroupe le peuple. Une accusation, car la tragédie de ce foyer des « petites nations », qui se savent périssables, est en fait celle de l’Europe elle-même qui ne veut pas le voir et ne s’est même pas aperçue de leur disparition. N’est-ce pas là un des signes de sa propre disparition ? La valeur du texte ne vient pas seulement de son habileté démonstrative, mais de la voix si personnelle, véhémente, angoissée de l’auteur, Milan Kundera, qui apparaît alors comme un des plus grands écrivains européens. Le voilà remis à la disposition du lecteur d’aujourd’hui, présenté par Pierre Nora, et précédé d’un texte inconnu du public français, le discours du jeune Kundera au Congrès des écrivains tchécoslovaques de 1967, en plein Printemps de Prague, présenté par Jacques Rupnik.

Mathou0511

a attribué 9/10 au livre

Un Occident kidnappé

livre de Milan Kundera

Résumé : Aussitôt paru dans Le Débat, en novembre 1983, cet article, traduit dans toutes les langues européennes, a sonné comme un plaidoyer et une accusation. Plaidoyer pour la défense de l’Europe centrale (Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie), qui par sa tradition culturelle appartient tout entière et depuis toujours à l’Occident, mais que celui-ci ne voit plus qu’à travers son régime politique, ce qui n’en fait qu’une partie du bloc de l’Est. Une culture qui n’est pas l’apanage d’une élite, mais la valeur vivante autour de laquelle se regroupe le peuple. Une accusation, car la tragédie de ce foyer des « petites nations », qui se savent périssables, est en fait celle de l’Europe elle-même qui ne veut pas le voir et ne s’est même pas aperçue de leur disparition. N’est-ce pas là un des signes de sa propre disparition ? La valeur du texte ne vient pas seulement de son habileté démonstrative, mais de la voix si personnelle, véhémente, angoissée de l’auteur, Milan Kundera, qui apparaît alors comme un des plus grands écrivains européens. Le voilà remis à la disposition du lecteur d’aujourd’hui, présenté par Pierre Nora, et précédé d’un texte inconnu du public français, le discours du jeune Kundera au Congrès des écrivains tchécoslovaques de 1967, en plein Printemps de Prague, présenté par Jacques Rupnik.

ManOnTheMoon22

a attribué 9/10 au livre

Un Occident kidnappé

livre de Milan Kundera

Résumé : Aussitôt paru dans Le Débat, en novembre 1983, cet article, traduit dans toutes les langues européennes, a sonné comme un plaidoyer et une accusation. Plaidoyer pour la défense de l’Europe centrale (Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie), qui par sa tradition culturelle appartient tout entière et depuis toujours à l’Occident, mais que celui-ci ne voit plus qu’à travers son régime politique, ce qui n’en fait qu’une partie du bloc de l’Est. Une culture qui n’est pas l’apanage d’une élite, mais la valeur vivante autour de laquelle se regroupe le peuple. Une accusation, car la tragédie de ce foyer des « petites nations », qui se savent périssables, est en fait celle de l’Europe elle-même qui ne veut pas le voir et ne s’est même pas aperçue de leur disparition. N’est-ce pas là un des signes de sa propre disparition ? La valeur du texte ne vient pas seulement de son habileté démonstrative, mais de la voix si personnelle, véhémente, angoissée de l’auteur, Milan Kundera, qui apparaît alors comme un des plus grands écrivains européens. Le voilà remis à la disposition du lecteur d’aujourd’hui, présenté par Pierre Nora, et précédé d’un texte inconnu du public français, le discours du jeune Kundera au Congrès des écrivains tchécoslovaques de 1967, en plein Printemps de Prague, présenté par Jacques Rupnik.

AG2

a attribué 7/10 au livre

Un Occident kidnappé

livre de Milan Kundera

Résumé : Aussitôt paru dans Le Débat, en novembre 1983, cet article, traduit dans toutes les langues européennes, a sonné comme un plaidoyer et une accusation. Plaidoyer pour la défense de l’Europe centrale (Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie), qui par sa tradition culturelle appartient tout entière et depuis toujours à l’Occident, mais que celui-ci ne voit plus qu’à travers son régime politique, ce qui n’en fait qu’une partie du bloc de l’Est. Une culture qui n’est pas l’apanage d’une élite, mais la valeur vivante autour de laquelle se regroupe le peuple. Une accusation, car la tragédie de ce foyer des « petites nations », qui se savent périssables, est en fait celle de l’Europe elle-même qui ne veut pas le voir et ne s’est même pas aperçue de leur disparition. N’est-ce pas là un des signes de sa propre disparition ? La valeur du texte ne vient pas seulement de son habileté démonstrative, mais de la voix si personnelle, véhémente, angoissée de l’auteur, Milan Kundera, qui apparaît alors comme un des plus grands écrivains européens. Le voilà remis à la disposition du lecteur d’aujourd’hui, présenté par Pierre Nora, et précédé d’un texte inconnu du public français, le discours du jeune Kundera au Congrès des écrivains tchécoslovaques de 1967, en plein Printemps de Prague, présenté par Jacques Rupnik.

Lestrade

a écrit

une critique

sur le livre

et lui a attribué 7/10

Nielad-Divinorum

Si tu ne connais pas, je t’invite à lire ce que dit Annie Le Brun à propos de l’art contemporain, en particulier dans cet ouvrage: https://www.senscritique.com/livre/ce_qui_n_a_pas_de_prix/34900927

Le 25 sept. 2023

Lestrade

Je ne connaissais pas du tout, merci pour la référence !

Le 25 sept. 2023

Nielad-Divinorum

Avec plaisir. C’est assez édifiant de constater que les mécènes d’artistes à la noix comme Jeff Koons sont aussi ceux qui financent les grands musées de l’Occident, Arnault en tête.

Le 25 sept. 2023

StephaneCanet1

a attribué 9/10 au livre

Un Occident kidnappé

livre de Milan Kundera

Résumé : Aussitôt paru dans Le Débat, en novembre 1983, cet article, traduit dans toutes les langues européennes, a sonné comme un plaidoyer et une accusation. Plaidoyer pour la défense de l’Europe centrale (Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie), qui par sa tradition culturelle appartient tout entière et depuis toujours à l’Occident, mais que celui-ci ne voit plus qu’à travers son régime politique, ce qui n’en fait qu’une partie du bloc de l’Est. Une culture qui n’est pas l’apanage d’une élite, mais la valeur vivante autour de laquelle se regroupe le peuple. Une accusation, car la tragédie de ce foyer des « petites nations », qui se savent périssables, est en fait celle de l’Europe elle-même qui ne veut pas le voir et ne s’est même pas aperçue de leur disparition. N’est-ce pas là un des signes de sa propre disparition ? La valeur du texte ne vient pas seulement de son habileté démonstrative, mais de la voix si personnelle, véhémente, angoissée de l’auteur, Milan Kundera, qui apparaît alors comme un des plus grands écrivains européens. Le voilà remis à la disposition du lecteur d’aujourd’hui, présenté par Pierre Nora, et précédé d’un texte inconnu du public français, le discours du jeune Kundera au Congrès des écrivains tchécoslovaques de 1967, en plein Printemps de Prague, présenté par Jacques Rupnik.

carolectrice

a envie de lire le livre

The Zealous

a attribué 10/10 au livre

Un Occident kidnappé

livre de Milan Kundera

Résumé : Aussitôt paru dans Le Débat, en novembre 1983, cet article, traduit dans toutes les langues européennes, a sonné comme un plaidoyer et une accusation. Plaidoyer pour la défense de l’Europe centrale (Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie), qui par sa tradition culturelle appartient tout entière et depuis toujours à l’Occident, mais que celui-ci ne voit plus qu’à travers son régime politique, ce qui n’en fait qu’une partie du bloc de l’Est. Une culture qui n’est pas l’apanage d’une élite, mais la valeur vivante autour de laquelle se regroupe le peuple. Une accusation, car la tragédie de ce foyer des « petites nations », qui se savent périssables, est en fait celle de l’Europe elle-même qui ne veut pas le voir et ne s’est même pas aperçue de leur disparition. N’est-ce pas là un des signes de sa propre disparition ? La valeur du texte ne vient pas seulement de son habileté démonstrative, mais de la voix si personnelle, véhémente, angoissée de l’auteur, Milan Kundera, qui apparaît alors comme un des plus grands écrivains européens. Le voilà remis à la disposition du lecteur d’aujourd’hui, présenté par Pierre Nora, et précédé d’un texte inconnu du public français, le discours du jeune Kundera au Congrès des écrivains tchécoslovaques de 1967, en plein Printemps de Prague, présenté par Jacques Rupnik.

Arthur Debussy

a recommandé le livre

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Essais sur la société d'aujourd'hui

Un Occident kidnappé

livre de Milan Kundera

Résumé : Aussitôt paru dans Le Débat, en novembre 1983, cet article, traduit dans toutes les langues européennes, a sonné comme un plaidoyer et une accusation. Plaidoyer pour la défense de l’Europe centrale (Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie), qui par sa tradition culturelle appartient tout entière et depuis toujours à l’Occident, mais que celui-ci ne voit plus qu’à travers son régime politique, ce qui n’en fait qu’une partie du bloc de l’Est. Une culture qui n’est pas l’apanage d’une élite, mais la valeur vivante autour de laquelle se regroupe le peuple. Une accusation, car la tragédie de ce foyer des « petites nations », qui se savent périssables, est en fait celle de l’Europe elle-même qui ne veut pas le voir et ne s’est même pas aperçue de leur disparition. N’est-ce pas là un des signes de sa propre disparition ? La valeur du texte ne vient pas seulement de son habileté démonstrative, mais de la voix si personnelle, véhémente, angoissée de l’auteur, Milan Kundera, qui apparaît alors comme un des plus grands écrivains européens. Le voilà remis à la disposition du lecteur d’aujourd’hui, présenté par Pierre Nora, et précédé d’un texte inconnu du public français, le discours du jeune Kundera au Congrès des écrivains tchécoslovaques de 1967, en plein Printemps de Prague, présenté par Jacques Rupnik.

ArthurDebussy

Deux textes absolument majeurs de Milan Kundera, toujours et d'autant plus d'actualité à l'ère de la guerre en Ukraine... Le récit de l'effondrement de l'Occident et la prémonition de la menace de l'impérialisme russe - entre autres. Deux textes gorgés de référence à une culture qui n'est plus (ou presque) : celle de l'Europe Centrale, et plus largement celle de l'Europe et de l'Occident. Cette réédition de 2021 mériterait d'être diffusée et lue à grande échelle tant ces textes sont inspirants e...

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Le 16 août 2022

Thibault_Lafont

a attribué 8/10 au livre

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2022 / Lectures

Un Occident kidnappé

livre de Milan Kundera

Résumé : Aussitôt paru dans Le Débat, en novembre 1983, cet article, traduit dans toutes les langues européennes, a sonné comme un plaidoyer et une accusation. Plaidoyer pour la défense de l’Europe centrale (Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie), qui par sa tradition culturelle appartient tout entière et depuis toujours à l’Occident, mais que celui-ci ne voit plus qu’à travers son régime politique, ce qui n’en fait qu’une partie du bloc de l’Est. Une culture qui n’est pas l’apanage d’une élite, mais la valeur vivante autour de laquelle se regroupe le peuple. Une accusation, car la tragédie de ce foyer des « petites nations », qui se savent périssables, est en fait celle de l’Europe elle-même qui ne veut pas le voir et ne s’est même pas aperçue de leur disparition. N’est-ce pas là un des signes de sa propre disparition ? La valeur du texte ne vient pas seulement de son habileté démonstrative, mais de la voix si personnelle, véhémente, angoissée de l’auteur, Milan Kundera, qui apparaît alors comme un des plus grands écrivains européens. Le voilà remis à la disposition du lecteur d’aujourd’hui, présenté par Pierre Nora, et précédé d’un texte inconnu du public français, le discours du jeune Kundera au Congrès des écrivains tchécoslovaques de 1967, en plein Printemps de Prague, présenté par Jacques Rupnik.