Dans une machine comme moi, un robot tout droit sorti de l’esprit d’Asimov et de ses paradoxes se voit pourvu d’un propriétaire émanant du monde déprimé d’Houellebecq.


Ce pitch de départ est déjà prétexte à de nombreuses considérations sociales et philosophiques bien sympathiques mais l’auteur ne s’arrête pas là.


En sus, il nous pond une réelle histoire avec intrigue, romance, procès et tout le toutim, ce qui rend ce livre d’autant plus agréable à lire.


Des livres comme ça j’en redemande.

rolfty
9
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le 9 sept. 2020

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rolfty

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