Pour le coup, c'était très special à lire.
J'aime bien les livres où ça divague de sujet à sujet avec seulement un mot qui relie le tout, donc ça me dérangeais pas vraiment de lire même si plus ça allait et plus je me disais que Rimbaud avait sûrement pris un truc en écrivant ces poèmes, c'est pas possible. Il parle de satan puis du christ, puis de païen, puis d'éden, d'évangile, puis d'à quel point l'enfer c'est horrible introduisant le témoignage d'un compagnon d'enfer et de son état mental à lui et j'en passe.
Je vais probablement pas m'en souvenir plus tard mais ça reste un truc à lire au moins une fois, ne serait-ce que pour la culture.