Quelle description sensible et juste de la féminité, à peine teintée de la bonne tenue du début du siècle.
Talentueux et délicieux ouvrage.
Et je ne m'intéressais pas à moi-même, et toute vie qui ne se voue
pas à un but déterminé est une erreur.*
(p. 85, éd. Livre de Poche)
Créée
le 1 nov. 2019
Critique lue 118 fois
D'autres avis sur Vingt-Quatre heures de la vie d'une femme
Est-ce que vingt quatre heures peuvent changer la vie d'une femme? Telle est la question de ce court roman de Stefan Zweig, qui relate comment une femme honorable, veuve et seule au monde, a pu...
Par
le 7 mai 2011
32 j'aime
4
Faut-il que Stefan Zweig soit un passionné pour écrire de telles nouvelles, Faut-il qu'il ait une sensibilité à fleur de peau pour conter avec autant de passion les relations amoureuses. Fait-il...
Par
le 14 sept. 2014
23 j'aime
J'ai enfin pris le temps de lire l'une des nouvelles les plus plébiscitées de Stefan Sweig, "Vingt-quatre heures de la vie d'une femme". Texte court qui se lit d'une traite, phénomène que j'attribue...
Par
le 12 oct. 2014
21 j'aime
2
Du même critique
Je voudrais que chacun écrivît ce qu'il en sait, et autant qu'il en sait, non en cela seulement, mais sur tous les autres sujets, car tel peut avoir quelque science ou expérience particulière de...
Par
le 1 nov. 2019
Quelle description sensible et juste de la féminité, à peine teintée de la bonne tenue du début du siècle. Talentueux et délicieux ouvrage. Et je ne m'intéressais pas à moi-même, et toute vie qui...
Par
le 1 nov. 2019
