Des fulgurances, bien sûr, des passages qu'on marque d'une croix, qu'on surligne ou qu'on souligne au crayon en caressant l'espoir de ne pas tout à fait les oublier.
Mais aussi, un style impossible et un personnage central à la médiocrité geignarde particulièrement irritante.

polk-mowbray
4
Écrit par

Créée

le 7 mai 2016

Critique lue 369 fois

polk-mowbray

Écrit par

Critique lue 369 fois

D'autres avis sur Voyage au bout de la nuit

Voyage au bout de la nuit
Zaul
10

Autopsie syntaxique

Il m'a fatigué le Céline, et même vraiment mis le moral dans les chaussettes. J'avais toujours eu un peu de mal à entrer dedans, à m'y mettre : j'ai cette fois pris les choses en main et je me le...

Par

le 2 avr. 2012

124 j'aime

15

Voyage au bout de la nuit
Vincent-Ruozzi
10

Le pessimisme sublimé

Voyage au bout de la nuit, le premier roman de Louis-Ferdinand Céline, n’est pas une œuvre ordinaire. D’une part pour la qualité du récit et d’écriture. D’autre part pour les convictions et...

le 9 avr. 2015

100 j'aime

13

Voyage au bout de la nuit
-IgoR-
10

Illustre inconnu

J’ai rencontré Céline par un hasard des plus fortuits. Comme ça. Un beau matin pas plus gris qu’un autre. Un jour comme y’en a pleins. Pourtant on se connaissait déjà tous deux, sans le savoir...

le 17 nov. 2014

87 j'aime

21

Du même critique

Voyage au bout de la nuit
polk-mowbray
4

Partagé

Des fulgurances, bien sûr, des passages qu'on marque d'une croix, qu'on surligne ou qu'on souligne au crayon en caressant l'espoir de ne pas tout à fait les oublier. Mais aussi, un style impossible...

le 7 mai 2016