Lâcheté et mensonges
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Lorsque l’aiguille de la platine (ou de l’électrophone, comme c’était le encore le cas à l’époque) vient se poser sur la première fois sur le sillon de « The Stooges », et qu’un Iggy juvénile, mais d’une splendide arrogance blasée entame « 1969 », quel adolescent pourrait-il résister à cette injection de rébellion viscérale devant l’ennui vicieux que la vie « adulte » semble offrir comme seul horizon ? Tout est dit (même si le tout aussi séminal « No Fun » enfonce le clou sur la deuxième face), et il ne reste plus alors que choisir la révolte – mais s’agit-il là même d’un choix ?
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste 365 days music challenge
Créée
le 26 avr. 2015
Critique lue 116 fois
2 j'aime
Du même critique
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
191 j'aime
115
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
190 j'aime
25