L'intro nous est éminemment familière, de par ce son si caractéristique et le phrasé des cuivres tant de fois copié, plagié, imité jusqu'à servir de moule pour les BO de série B des années 60/70.
Démarrage en côte donc, lent et massif. On s'accroche comme on peut avant que le train ne soit lancé dans sa course frénétique. Aucun arrêt de prévu. Ça balance d'un bout à l'autre sans que jamais, ne serait-ce qu'une seule seconde, le rythme se relâche.
Un morceau bouillant, vibrant et sexy en diable.
Avec le lien, évidemment: https://www.youtube.com/watch?v=S1GrP6thz-k