Un classique de Louis Bertignac post Téléphone, pour ne pas dire le classique de Louis Bertignac.
J’aime Louis Bertignac depuis son album avec mon idole de toujours Jacques Higelin et l’album irradié.
Ces idées-là m’a toujours plu :
Bébé faudrait rentrer tu vois
Nous sommes à une époque où le téléphone portable n’est pas encore démocratisé. C’était la galère, on ne savait jamais où était les gens
La machine à café est détraquée
Bébé est donc bricoleuse
Les cendriers tous renversés
Là, j’ai envie de te dire de bouger ton cul, n’attend pas après bébé pour ramasser les cendriers, lève-toi et passe l’aspirateur.
Des heures et des heures passées
Devant la mire de ma télé.
Là bébé n’y est pour rien, c’est la drogue mon garçon qui te fait faire ça.
Des nuits sans dormir à me demander où tu peux bien aller.
La communication aurait pu sauver ton couple.
Et ça sent un peu le déni.
J'suis pas si fort que tu crois
Non non non non
Pas si fort que ça
On s’en doutait, t’es pas fichu de ramasser les cendriers renversés
Bébé un doute en moi s'est figé
Oh tu n'vas plus rentrer
Tu commences à piger ou alors la drogue se dissipe
Comment ne pas m'imaginer
Ta petite gueule entre ses bras
Comment ne pas crier
Comment ne pas pleurer
Nous avons tous vécu ça et tu as raison, c’est douloureux
Ces idées-là est vraiment une superbe chanson, encore meilleur en live quand tout le public, à l’unisson fait
Ouh ! Ouh ! Ouh !
C’est génial
Ce morceau est excellent