Je croyais pas que c'était possible
24 Janvier 2015 : J'en suis à la cinquième chanson de cet album et je n'imaginais dans doute pas ce qui pouvait m'attendre. Je pensais, je pensais naïvement, je ne sais plus à quoi je pensais. Tout se bouscule dans ma tête.
Tout à commencé avec ce morceau par un choc, un énorme choc. D'abord une voix, sa voix, sa voix à lui. Pire que sur les autres morceaux ! Si, si c'est possible ! Je ne pensais pas l'écrire un jour mais les machines qui contrôlent le Colonel Reyel sont parvenus à le rendre encore plus monstrueux et insupportable.
Un effet téléphone qu'on croirait sorti d'un Panasonic acheté aux puces à Barbès et qui aurait passé une grande partie de sa vie sous l'eau et une tentative veine d'étouffer le son. Je me prends à rêver que c'est pour qu'enfin on arrête de pouvoir l'entendre mais visiblement non c'est pour un effet style beau gosse ténébreux sûrement. Résultat on a juste un type insupportable dont on comprend pas un traitre mot qui tente de nous expliquer qui il est.
Une citation au passage : "Je suis complexe que ça."
Voilà je crois que tout est dit. Certainement que dans quelques années des thèses de philosophie s'écriront sur ce grand homme. J'espère juste que je serais mort ou au moins aveugle pour ne pas pouvoir voir ça.
La chanson en elle-même ?
Au lieu de raconter la façon dont il veut pénétrer... l'univers d'une femme le Colonel raconte comment pénétrer... son cerveau et sa personnalité. Et là franchement j'hésite vraiment sur ce qui le plus dégueulasse. Sachant qu'on parle bien du cerveau du Colonel, il ne faut pas déconner non plus.
C'est moche, inutile et une autre épreuve de souffrance encore !