Lâcheté et mensonges
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Une mélodie furieusement simpliste comme au temps de l'électro-pop des eighties, une histoire qui mêle cruellement la conscience prolétarienne chère à Ken Loach avec le sadomasochisme amoureux, délivrée avec une emphase frénétique qui fait littéralement basculer tous les préjugés que l'on pouvait encore avoir sur le goût pour le kitsch de Jarvis Cocker : une chanson qui touche au sublime et un tube imparable à la fois. [Critique écrite en 1995]
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les meilleurs morceaux de rock alternatif et 365 days music challenge
Créée
le 30 avr. 2015
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2 commentaires
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