Roméo et Juliette
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On sait aujourd’hui – parce que John Lennon, parce que Ray Davies, parce que Joe Strummer, parce que Noel Gallagher – que le prolétaire anglais est aussi essentiel à la survie du Rock que le cueilleur de coton afro-américain à la naissance du Blues. Il suffit que, régulièrement, des faubourgs de Londres ou de Manchester, surgisse CE son, CETTE énergie, pour qu’on puisse encore y croire. Qu’importe que le web ait changé la donne – dans le cas des « Arctic Monkeys », pour le meilleur, puisque la puissance du peer-to-peer a redonné le pouvoir aux musiciens -, c’est toujours la même enivrante chanson qu’on entend : celle des épuisantes et fières nuits de dérive et d’ennui, quand à 18 ans, on n’a pas beaucoup d’argent et que la ville paraît aussi glauque que mystérieuse, et que tout est encore possible, même si l’on a déjà laissé pas mal d’illusions sur le carreau. [Critique écrite en 2006]
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Créée
le 10 juil. 2015
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