Critique de Losing My Religion par Owl
Je l'entends encore une fois, je tue un chaton.
Par
le 29 déc. 2011
1 j'aime
Tout le monde connaît "Losing My Religion", succès planétaire totalement inexplicable pour un texte aussi introverti et obscur, délivré avec une grâce un peu effrayante par un Michael Stipe assumant depuis peu son rôle de "front man" médiatique d’un groupe jusque là mystérieux, sur une mélodie aigrelette mais curieusement rayonnante. Une chanson qui se révélera inusable, sorte de chewing gum métaphysique et sans sucre, qui ne perd pas son goût après avoir été aussi longtemps mâché et remâché. Une sorte de miracle finalement.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste 365 days music challenge
Créée
le 29 avr. 2015
Critique lue 613 fois
24 j'aime
3 commentaires
D'autres avis sur Losing My Religion
Je l'entends encore une fois, je tue un chaton.
Par
le 29 déc. 2011
1 j'aime
Oh no I've said too much/ Oh non, j'en ai trop dit/ What if all these fantasies/ Qu'en serait-il si tous ces fantasmes/ Come flailing around/ Venaient nous hanter/ Now I've said too much/ A présent...
Par
le 4 avr. 2012
Du même critique
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
191 j'aime
115
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
190 j'aime
25