Le dance-floor comme ultime lieu de rébellion, rien d’original à cela, sans doute. Comme lieu de perversion massive, c’est beaucoup plus fun, et avec Philippe Katerine en DJ déchiré, toutes les inhibitions s’effondrent sur le martellement lourd d’une disco complètement lobotomisée : assistantes sociales, puériculteurs, agriculteurs, chômeurs, unissez-vous, le DJ bande, il est le temps de le prendre par les pieds ! « Et je coupe le son ! » [Critique écrite en 2005]
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Créée
le 12 juil. 2015
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