Lâcheté et mensonges
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Si en 1985, les Talking Heads ont déjà donné le meilleur d’eux mêmes, et qu’il est temps pour Byrne d’explorer seul de nouveaux territoires, ce "Road to Nowhere" pourrait constituer leur meilleur adieu (l’un des tous meilleurs d’un groupe de Rock, en fait). On quittera donc l’histoire en braillant à tue-tête cet hymne bancal et obsédant, ivres de bonheur d’avoir vécu une si belle vie, ou ivres d’alcool pour oublier que le chemin devant nous ne mène nulle part. Jamais le désespoir n’a été aussi festif.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 30 avr. 2015
Critique lue 151 fois
3 j'aime
1 commentaire
Du même critique
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
191 j'aime
115
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
190 j'aime
25