Lâcheté et mensonges
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
En 1972, Lou a encore dans sa besace quelques standards non publiés de l’époque du Velvet, et il les écoule peu à peu sur ses albums solos. Pourtant, si l’on écoute une version « velvetienne » de « Satelite of Love », on n’entend qu’une chanson assez informe, maladroite, qui ne justifie pas de figurer sur un album. L’embryon de ce monument de douceur et de brillance glam qu’est la « Satelite of Love » revu et corrigé par Bowie (et Ronson) que l’on trouve sur « Transformer », soit l’un des joyaux du « Rock Décadent » comme on l’appelait stupidement à l’époque. Et le seul exemple parfait de la collaboration de deux artistes qui, s’admirant trop l’un l’autre, n’arriveront plus par la suite à un tel sommet.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 30 avr. 2015
Critique lue 132 fois
1 j'aime
Du même critique
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
192 j'aime
118
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
191 j'aime
25