Il était une fois dans l’ouest

Après avoir dévoré Yellowstone, j’ai eu envie de découvrir cette série qui commence à la base de l’histoire.
L’introduction démarre fort dans une atmosphère chaotique et sanglante qui nous met directement dans l’ambiance.
Les deux premiers épisodes font un sans faute tant dans la mise en place de l’intrigue que dans des scènes digne d’un western.
On passe par un creux qui semble inévitable dans les productions d’aujourd’hui pour finir sur une note forte en émotions.
Concrètement ça fait le taf, des paysages incroyables, des acteurs juste voir très bon et un dénouement qui tient la route pour lancer la fameuse dynastie des Dutton.
La ou le bas blesse comme dans beaucoup de productions américaines, c’est la place des enfant, adolescent.
Dans 1883 nous suivons le voyage de l’aînée Dutton qui se trouve être une jeune de femme de caractère, aventurière, tempétueuse et un tête brûlée sur les bord quitte à prendre de nombreux risques sans que ses parents ne moufte vraiment ce qui semble invraisemblable dans cette époque.
Et c’est la toute la faiblesse de la série, cette surenchère caractérielle, la scène de sexe qui passe presque comme une lettre à la poste auprès de la famille, la liberté prise de choisir son destin, tant de caractéristiques que l’on retrouve dans beaucoup de productions américaines et qui pour ma part prennent trop de place voir sont inutiles et peu ou pas réaliste.
La seringue vaut le coup d’œil mais ne démarque pas des productions lambdas.