La tache blanche dans le bermuda
Arrow c'est un peu le caviar de la série-comic, l'entremet du superhéros, le génie de la conception réalistique, tout ceci sur fond de misère et critique néo-modernaliste du gouvernement actuel.
On retrouve chez l'acteur ce coté Kafkaïen et Hitchockien qui laisse pantois le spectateur. Le mercredi devient pour moi le nouveau jour de messe, au diable le dimanche, je me donne pour cette nouvelle religion (rires). Si le diamant était un show télévisuel axé sur un brin de comédie, une légère touche de tragédie et une plume d'action, ce serait Arrow.
Le dillemme cornélien qu'affronte Oliver : dévoiler son personnage ou le garder pour soi meme, lève le voile sur un genre encore jamais présenté auparavant. Il pose la problématique de René Descartes "je pense donc je suis, mais si je suis Oliver queen, suis je arrow pour autant ? parce qu'au bout d'un moment j'en ai un peu ras la balayette au fond de la camionette qu'on m'appelle pour lancer deux trois fleches alors que le prolétaire moyen en serait capable avec un peu d'entrainement". Il montre ainsi son dévouement à la philanthropie et à l'univers Marxiste.
En plus son arc il est swag et l'acteur est trop beau et tout musclé