Jamais au spectateur n'offrez rien d'incroyable.

Manifestement, les scénaristes anglais ne connaissaient pas Nicolas Boileau, grand poète francais, mais on leur pardonne, après tout, ils sont anglais. Sinon, ça démarre fort dès le 1er épisode.

29e mn : Keira trouve, toute seule comme une grande, un DD à peine dissimulé derrière un tableau dans l'appart de son amant dont l'assassinat est relié lié à la mort suspecte d'un ambassadeur chinois. Les flics, qui ont dû retourner ledit appart, ambassadeur chinois oblige, n'ont, eux, rien trouvé. Je me dis que le niveau a manifestement baissé à Scotland Yard.

37e mn : le vieux pote de Keira, rentré la veille après 7 ans d'absence, tombe sur un vieux pote à lui dans la rue en plein centre de Londres, 9 millions d'habitants. Je me dis que, le monde étant petit, ça peut arriver.

42e mn, ça s'accélère : toujours le vieux pote de Keira. Il trouve, tout seul comme un grand, l’endroit d'où l'assassin de l'amant de Keira a tiré. Manifestement, pas la police mais on sait déjà pourquoi. Mais en plus, ledit assassin a oublié une douille qu’il a quand même pensé à cacher sous des feuilles avant de s'enfuir. Je me dis que, manifestement, le niveau du tueur n'est pas meilleur que celui de la police.

43e mn : nom d'un chat de nom d'un chat comme disait Sylvestre le pote à Titi, l'assassin susvisé a laissé non pas une mais trois empreintes ex-ploi-ta-bles, c’te chance, sur la douille elle aussi susvisée. Alors arrivé à ce point de l'intrigue, je me dis que, vu son niveau, l'assassin est certainement de la police.

J'en suis là pour l'instant mais je continue quand même parce que j'aime bien l'ambiance ”so british" d'où les 3 étoiles comme dans le guide Michelin et je vous tiendrais au courant des autres pépites scénaristiques que je ne manquerai pas de rerelever