Brynhildr In The Darkness est un animé… assez bizarre, très classique et surtout qui se laisse aller dans l’ecchi sans réserve jusqu’à saouler, mais avec une intrigue asses sombre et intéressante pour accrocher (dommage que la fin soit aussi mauvaise).
Brynhildr In The Darkness raconte la rencontre entre Murakami, un lycéen passionné par l’astronomie depuis son enfance et son amour pour Kuroneko, son amie d’enfance morte sous ses yeux, et Kuroha Neko, une étudiante transférée qui rappelle beaucoup a Murakami son amie d’enfance, et puis il découvre qu’elle a des pouvoirs surhumains : une intrigue facile et qui repose sur un mystère qui tiendra comme fil rouge des relations entre les personnages, qui est vraiment Kuroha Neko ? Une question qui cache une histoire d’aliens assez débile par moments mais pourtant prenante (malgré une fin très bâclé et un peu décevante puisque ouverte), les combats entre « magiciennes », le secret de leurs origines… Tout ça est vraiment cool, mais le côté harem est très présent voire trop, beaucoup de scènes ecchi inutiles et qui n’arrivent même pas a être drôle, elles paraissent gratuite et mise en avant uniquement pour du fan-service, une dose de fan-service qui a du mal a passer, et qui gâche l’intrigue de fond en plus des personnages féminins ultra-clichés et du héros tellement gentil et cool qu’il en devient agaçant…
Et pour l’animation, ça n’est pas dégueulasse, mais c’est aussi bâclé que le scénario : un chara-design cheap et qui utilise la bonne vieille technique des couleurs de cheveux pour qu’on puisse distinguer les personnages, puisque les visages sont similaires, les combats sont trop fixes et court pour être haletant et l’univers est assez fade sans être irregardable.
Brynhildr In The Darkness se regarde surtout pour son intrigue de fond, rigolote, prenante et oscillant entre guimauve débile et suspense efficace, mais c’est tout ce qu’il y a à voir d’intéressant, sinon le reste est juste fade.