Lente série par excellence. Nous avons : un chef d’entreprise (Victor) sur la corde raide face à in conseil d’administration composé de requins, Sa maitresse (Monica) grande sauterelle rédactrice au sein du journal du même Monsieur en mode frifri alternatif, une organisation genre « Gilets jaunes sauce espagnole » maitre-chanteuse, une police dans le brouillard total dirigée par un mou âgé avec des supérieurs encore plus âgés. Méli-mélo inextricable où l’on s’ennuie à mourir. A fuir. Cette production bas-de-plafond mérite un commentaire supplémentaire. Notre PDG avec ses sourcils épais comme des édredons funéraires, possède un bureau sans papier ni stylo ni dossier, son costume point barre, il règle les rançons à coups de millions d’euros sans sourciller afin d’éviter les futurs décès de ses maîtres-chanteurs. La rançon qui se subdivise en 10 000 parts confine à une bêtise suprême. Ils ne connaissent pas Tracfin en Espagne. Très difficile de nos jours d’échapper à la traçabilité financière. N’est-ce pas Wikileaks ! On réverbère !