Des boobs et des méchas, on se dit : « Tiens ça va faire “pouet pouet” et “pan pan boum boum” pendant 25 épisodes. »
Sauf qu’en fait non. Enfin si, il y a des batailles de méchas et les dessinateurs n’ont pas lésiné sur le volume des poitrines, mais c’est pour la bonne cause : celle d’une vraie intrigue dans laquelle la princesse qui a tout perdu devient la némésis de ses contempteurs et va, pour le coup, contribuer à changer le monde.
C’est beau, ça chante bien, c’est efficace, on se prend des rebondissements comme de grosses claques. Sous des apparences d’animé pervers et stupide, on a affaire à une vraie réussite qui tient en haleine pendant de longues heures.