"Bon Joss, elle est gentillette ta série, mais ça marche pas, ça nous mène nulle part. On ira pas plus loin que la saison 2, dépêche-toi de boucler ça et de nettoyer derrière toi steuplait..."
Et Joss Whedon de s'exécuter et de produire ce qui est pour moi une des meilleures saisons toute série confondue. La tension permanente de cette saison 2, ses rebondissements, ses morceaux de bravoure portées par des persos uniques malgré le fait de pouvoir tout être (une doll quoi...), son final magistral, tout concourt à faire de Dollhouse une série unique et venger en quelque sorte l'honneur de Firefly qui n'aura jamais pu être conclue.
Oui, je ne mentionne pas la lourdeur de la saison 1, mais à la lumière de ce qui a suivi, n'est-elle pas parfaitement cohérente.
Bref, fan de Whedon et de SF, voilà ton Saint Graal.
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