2023 : Règne de la déliquescence du genre humain, bien "déconstruit" par cette série. Une étoile pour Rachel Weisz, qui porte sur ses épaules la double fonction d'actrice et de productrice.
L'un des chefs-d’œuvre de David Cronenberg et la maestria de Jeremy Irons. Drame/épouvante/thriller datant de 1988, durée : 1h56. Ce film donc, délayé, étiré, étripé, dépiauté comme on le ferait d'un poulet, pour en faire une série.
Cette série qui génère en moi de l'ennui et une vague nausée, pareille à ce que l'on ressent quand on a le mal de mer.
Gloubi-boulga wokiste où les femmes règnent en maîtresses (bis repetita et jouissance mauvaise, se sont elles qui ont le mauvais rôle) dans un univers pervers où se noie le scénario : bancal, qui part dans tous les sens, ligne rouge glauque que l'on lâche, puis que l'on entrevoit à nouveau, avant de le paumer. Jeu malsain où la femme consentante, fausse humaniste mais vraie carnassière vénale, vend un cauchemar morbide au nom de la libération du patriarcat honni, mais dans le fond, terriblement désiré. Désir qui s'éloigne, et qui deviendra virtuel. Tant pis !
Zoom arrière : Cette série sue littéralement la mélancolie et la nostalgie. Cette pseudo nouvelle ère qui glorifie l’individualisme aveugle, qui est bien difficile à ingérer, avant de devenir sinistrement indigeste.
A vous de voir...