Galileo par Lefolam

C'est l'histoire d'un scientifique acariâtre qui donne un coup de main à la police pour donner des explications physiques-chimiques à des trucs mystérieux relevés lors d'enquêtes. C'est parti d'un roman je crois, et pis on en a fait un film parce que ça a bien marché, vu que c'était encore plus calibré qu'un Julie Lescaut, à partir d'un autre roman du même auteur.

On ne pige rien pendant une demi-heure, comme le personnage de Shibasaki Kou (je comprends pourquoi je l'ai aimée dans Orange Days, celle-là, elle est jamais mieux que quand elle ferme sa gueule), quand soudain le scientifique bougon et asocial comprend tout d'un coup d'un seul, et attention quand il comprend, il prend une craie et il dessine tout plein de formules compliquées où qu'il soit, du coup il dessine souvent en l'air, mais c'est pas grave parce que nous on voit des chiffres, lettres et symboles dorés qui volent (on doit donc supposer qu'il arrive à les concevoir dans son cerveau), et puis après il explique tout, même si ça n'a rien à voir avec ses formules ou que ces dernières sont purement inutiles.

C'est un peu le Dr. House japonais.