Si on passe pardessus les moments cringe et le côté ultra masculiniste de la peluche... ...Qu'est-ce qu'on pleure en regardant ! X_X
Et on pleure pas sur la mort ou rien d'extrême comme ça. On pleure sur un ami malade, sur une kermess qui semble faire un flop, sur un enfant qui voit pas souvent sa mère...
Je suis vraiment impressionné par cette capacité de créer des émotions fortes à partir d'histoires relativement anodines, malgré des personnages assez clichés aussi. Juste l'héroïne est sensible et volontaire dans un monde "ordinaire" et ça rend l'ensemble très prenant.
On se dit "à sa place j'aurai abandonné, c'est trop risqué, tu va avoir l'air con". Elle y va et... Échoue souvent. Ça me rapelle beaucoup ma mère qui est souvent maladroite et inapropriée, mais qui essaye énormement de choses, et par là, s'est fait un réseau social énorme et qui a finalement réussi une tonne de choses étonnantes ; parce que parfois, ça marche. Si on oublie tous ces moments d'echecs et d'angoisse (qui honnêtement semblent trop chers, même sachant que ça finit bien).
Côté "nul" y a le chien masculiniste qui crache du feu et le côté trop guilleret/cartoon de Kobato. Sans parler des cinq minute de fins avec un sketch ultra cringe qui apporte rien sur le chien qui note la "prestation" de Kobato... Oh et les parties chantées. Et le crush hétéronormé prévisible avec sasuke.