Les deux aspects intéressants de cette série télévisuelle sont la valorisation du métier de gabarier, totalement oublié aujourd’hui, et de la Dordogne, ce fleuve capricieux qui traverse notamment Sarlat-la-Canéda, bien connue des amateurs du foie gras et de la truffe.
Pour le reste, la rivalité entre deux femmes pour conquérir le même homme est d’emblée inconsistante, comme les romances de la collection Harlequin.
J’abandonne donc après le premier crêpage de chignon [10’39].
L’avance rapide révèle un autre défaut, lieu commun du cinéma français, le blabla dans lequel se vautrent les personnages.
Lire : Christian SIGNOL, La rivière Espérance, 1990-1993 [Partage en ligne].