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Elizabeth Harmon a un don, apparemment génétique (cf sa mère suicido-infanticidaire). Pour les échecs.
Que va-t-elle en faire ? Le gâcher en pilules vertes / cigarettes / alcool ? (comme sa mère adoptive : trauma x2 !). Ou l’apprivoiser, devenir responsable et accomplir son destin de championne ?
Une problématique dramatique suffisamment puissante pour avoir été abordée dans l’Evangile selon Saint Matthieu.
Les acteurs sont impeccables. Anya Taylor-Joy resplendit à chaque instant, incarnant intensément les (très)hauts et les (très)bas de Beth. Les seconds rôles masculins nous dévoilent progressivement leur charme et charisme… avec un instant de grâce lors de l’appel salvateur New York -> Moscou du dernier épisode. Graou Benny.
Le message sous-jacent m’a par ailleurs conquise : « tout seul je vais vite. Ensemble on va loin. L’esprit d’équipe. Comme un besoin. » J’imagine que Jolene, l’ange-grande-sœur de Beth, ne renierait pas ces sages paroles de Grand Corps Malade.
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Créée
le 23 nov. 2020
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