Une idée intéressante au départ, celle de la pénurie des hommes en raison d’une épidémie qui ne décime qu’eux.
Les épisodes commençaient bien, intrigue, rebondissements, histoire d’amour, etc.
Malheureusement, arrivé au trois quarts, la série tombe dans le verbiage et le sentencieux. De longues descriptions historiques, des plans fixes inutiles, une avalanche de noms irretenables, etc. L’histoire perd donc beaucoup de son rythme et de son intérêt.
Au final, une série qui commence vraiment bien mais qui finit un peu comme un pétard mouillé. Dommage!