Avant tout je tient à préciser que j’ai une réel affection pour le personnage de Paddington.
Comme beaucoup de français j’ai découvert ce petit ourson grâce au 2 long métrage Franco-Britannique.
Et comment ne pas être charmé par ce petit ours so british, maladroit, extrêmement poli et doublé par la voie plein de charme et d’élégance de Guillaume Galliene (oui Paddington fait partit des quelques films à voir de préférence en VF).
Entre Wes Anderson et humour Slapstick avec une grande dose de poésie (et de marmelade) les longs métrages Paddington ont un charme dingue surtout si vous appréciez la culture britannique.
Après un court métrage avec la Reine him self (qui fait rentrer Paddington dans le cercle très fermer des personnages ayant tourner avec la reine) j’avoue j’étaie en manque.
Surtout que revenant d’un voyage à Londres j’ai vu du Paddington partout (et d’ailleurs j’en ai adopter à la gare qui porte son nom)
Mais comment combler se manque de Paddington. Je n’allais quand même pas regarder une série en 3D pour enfant….
Quel erreur
A peine lancer le premier épisode je reconnais la voie de Guillaume Galliene et rien que pour ça la série vaut le coup mais pas que.
Les épisodes ne durent qu’une dizaine de minutes assurant à chaque épisode un rythme absolument parfait.
On retrouve souvent la même structure cette
Les Brown parle d’un élément de la vie
Paddington expérimente cette élément
Une succession de scène mi gag mi poésie
Paddington en retire un enseignement et écrit sa lettre à sa tante.
Mais cette structure offre à chaque épisode un petit bout de vie remplie de poésie et extrêmement agréable et plaisant
Même à 17 ans je prenais un vrai plaisir à regarder un petit épisode de Paddington par jour.
Paddington suprématie