Lost, cette série, cette œuvre. Ces longues heures à me demander pourquoi, comment, qui. Cette série que je ne voulais pas terminer redoutant le vide qu’elle allait laisser en moi. Mais toutes les bonnes choses ont une fin… Et Lost te le fait bien comprendre.
Lost est un récit aux personnages complexes, aux histoires douloureuses presque morbides. C’est un récit de la vie, de la mort, de la rédemption mettant en jeu perpétuellement le rationnel et le spirituel.
Je l’aime. Elle a certes des défauts
et pour moi l’un des plus flagrant est l’évolution de l’intrigue Widmore, bâclé. Cet homme froid et ignoble méritait son épisode, son histoire et une fin aboutit…
Mais cela reste l’une des séries les mieux achevée.
Quant à la fin, elle est a l’image de la série : ambivalente. Je pense que c’est une fin libre d’interprétation où chacun peut y trouver son compte. A l’instar de nos personnages, nous l’interprèterons selon nos croyances et nos expériences. Peut être de façon cartésienne comme Jack ou en ayant la foi comme John.
J’ai su que j’aimerais cette série le jour où j’ai atteint l’épisode 18 saison 1 « Numbers », ici, tout a commencé.
Je ne peux que la recommander et n’ai qu’une hâte : la regarder à nouveau pour redécouvrir ces êtres torturés et cette île idyllique (hihi).
Merci, au revoir et namaste.