Lost : Les Disparus par Bing
Ma série culte, grandiose du début à la fin. Il n'y a rien que je n'aime pas, à part peut-être cet enfoiré de Michael, mais on a tous un personnage que l'on déteste et pour ma part c'est lui.
Chaque saison apporte quelque chose en plus, fait changer la série du chemin qu'elle avait emprunté la saison précédente. Ainsi si la saison un est une saison où l'on retrouve des survivants d'un crash d'avion qui apprennent à se connaître et à survivre sur une île déserte, la saison deux introduit une nouvelle menace et un autre mystère que l'île détient. On aura aussi des flash backs, des flash forward, des voyages dans le temps.
Plus on avance, plus les scénaristes soulèveront de questions; sur l'île, sur ses habitants, sur les naufragés; Et si par bonheur ils acceptent de répondre à quelques unes de nos interrogations, ces réponses soulèvent encore plus de questions, tel une hydre de lerne qui aurait fait un enfant avec le Sphynx.
Mais c'est là que la série a fait fort, car même si la série s'est arrêtée avec beaucoup de quesitions sans réponses au final beaucoup de mystères peuvent être résolus par le spectateur même, grâce à tous les indices disséminés à travers les six saisons. Chacun peut se faire ses propres théories sur les origines de l'île et les mystères qu'elle recèle. Moi-même j'ai relié l'univers de LOST à l'univers de La Tour Sombre de Stephen King dont JJ Abrams (créateur de LOST) est fan.
Le final a divisé les fans d'une manière presque définitive, et je fais partie de ceux qui acceptent, et "move on". Car comme le dit Stephen King himself: The joy is in the journey, not the destination.