Bon à l'heure ou j'écris cette critique, j'ai 19 ans je suis donc né en 2002. Tout ça pour dire que l'anime de Naruto à bercé mon enfance. Autant vous dire que j'ai été longtemps un fan boy absolu de Naruto. Malgré les avertissements j'ai décidé de le revisionner alors que j'aurais pu adoré toute ma vie. Et bien comme vous vous en doutez Naruto m'a bien déçu. Quand j'étais petit je regardais ça 1 heure par jour mais la je me suis forcé à tout regarder d'un coup. Ca à peut être un peu joué mais bon on est censé pouvoir regarder un animé avec le rythme que l'on souhaite. Je vais donc exposer ce qui m'a plu et ce qui ne m'a pas plu :
Commençons par ce qui m'a plu.
Les personnages : J'ai trouvé les personnages bien écrits, dès fois c'est un peu kitsch mais l'essentiel y est. ( except for Sakura ) Ils ont à peu près tous un certain charisme et une histoire détaillé. j'ai particulièrement apprécié Jiraya et Gaara. L'un apporte une touche d'humour pervers à la série qui manque parfois de maturité et l'autre nous montre une façe très sombre du monde des Shinobi ce qui fait beaucoup de bien à l'intrigue. Alors attention j'ai pas dit que tous les personnages étaient intéressants mais il y'en a pas mal. Par contre Sakura et Ino je ne veux pas être sexiste mais à quoi servent ces cruches ?! Même quand elles devraient avoir LEUR moment intéressant, c'est à dire le moment ou elles doivent s'affronter bah non c'est nul. Elles s'affrontent pour ainsi dire même pas ! On a juste le droit à 2 ou 3 flashbacks foireux et une mise en scène complètement conne. Merde c'est quoi la morale, qu'il y'a des filles superficielles ? Merci Naruto tu nous en apprends des choses mais spoiler alerte, des gars superficiels ça existe aussi. Gros point fort aussi pour Shikamaru qui nous montre quant à lui une facette sous-exploité mais intéressante : l'intelligence associé à la fainéantise. Bref y'a beaucoup de personnages qui valent le coup.
L'ambiance : Pour moi c'est un gros point fort de l'anime. Le monde des ninjas est à la fois enfantin et cruel. Cette dualité est assez