NCIS LA avait été introduit subrepticement avec son grand frère NCIS par une petite virée de papy Gibbs à LA dans une unité secretes constitué d'agents spécialisés dans l'infiltration, le tout bardé de technologie (écrans surface géant, contrôle bigbrotherien sur toutes les caméras, satellites et bases de données des USA pour un résultat d'une rare médiocrité.
Ce fut donc avec surprise et appréhension, mes deux meilleurs amis quand il s'agit d'une série signée Donald P. Bellisario que je m'attaquais à ce morceau de viande tendre.
Et là ce fut l'énorme surprise, la vilaine chenille besogneuse était devenue un magnifique papillon, fini l'entrepôt glauque sans fenêtre, bonjour le magnifique lounge avec loggia et marina privée, fini la chef revêche, bienvenue à la vieille naine mère maquerelle qui radote sur les vieilles gloires d'Hollywood qu'elle s'est tapé étant jeune. Une équipe jeune et belle composé d'un hipster puceau à lunettes, d'un psychologue complexé et d'une croqueuse d'homme en plein syndrome d'Électre, le tout tourbillonnant autour du couple Callen/Hanna.
Oui je dis bien couple parce que c'était la petite touche rose en plus qui lui donnait de l'intérêt, le couple gay, avec LL Cool J en bear cajolant son toyboy Chris O'Donnell, toute la première saison était une merveille de sous-entendu sur leur relation. Et puis toute relation fini dans le train-train quotidien et dès la deuxième saison on retombe dans le vieux couple qui se chamaille tendrement. Et la forcement on s'emmerde et on commence à se rendre compte qu'on se tape tous les scénarios qui ont été refusé par le grand frère NCIS, et la chute est dure.
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