Forts d'engagement géopolitique porté par des actes d'investissements personnels au nom de la liberté, No Man's Land n'a creusé aucune tranché laissant place à un tas de cercueils auxquels peu de sentiments s'installe empêchant la sympathie de ces personnages.
L'impuissance masculine porté un Félix Moati sans expression ni crédibilité aucune, s'amenuisant d'épisode en épisode,de flashback en flashback découd totalement le fil auquel on aurait pu se rattacher.
La recherche désinvolte d'un frère pour sa soeur, interprété par Mélanie Thierry, offre un pitch intéressant mais où les retrouvailles sont à la teinte de la série: monochrome.
Souheila Yacoub combattante kurde est remarquable dans se rôle. Son personnage est très caricatural et innocent. Nous qui croyons à une combattante s'avère très vite tomber dans la facilité face à Félix Moati.
L'histoire des 3 jeunes britanniques, vit d'un revirement sur la fin de la saison ou l'on ne s'identifie point dans les actes de ces personnages peu concluant pourtant bien interprété.
Négliger un des points principale de la série, la mise en avant de la révolution kurde et féministe est une des erreurs scénaristique importante. Nous sommes embarqué sans avoir de points d'attache, tombant dans un ramassis de clichés inévitable tant la facilité est grande.
Cette série retranscrit une perception non manichéenne de ce no man's Land pourtant ceci manque cruellement de profondeur et de mise en avant, justifiant peux être celà.
Le bureau de légendes se fait penser à la lecture du scénario, au visionnage on en est très loin.