C’est dommage car la partie sur l’incendie de Notre Dame est intéressante mais la multiplication des scènes sans rapport est vraiment pénible. Tout au long des 6 épisodes, on suit un père qui essaie de retrouver sa fille camée, une succession de scènes violentes et désagréables, qui brisent l’intérêt qu’on a pour les pompiers dans la tourmente de l’incendie, intérêt qu’il faut sans cesse renouveler à chaque flash-back, à chaque détournement.
Je pense que la critique du Monde résume parfaitement ce que j'essaie de dire : "en choisissant d'associer quelques destins parisiens au feu de la cathédrale, le réalisateur tourne très délibérément le dos à l'exactitude et rend la série incohérente et invraissemblable". Sinon celle de Première vaut aussi le détour : "l'incendie devient le point de départ d'une série d'arcs narratifs oscillant entre caricature et n'importe quoi".